Affaire importante

Il faisait assez beau ce jour là. L’aurore avait décidé d’empourprer le ciel et les rayons du soleil le commençant à fendre le sol des campagnes quand un homme, entouré d’un cape noir, et montant un cheval arriva devant le massif pont en pierre qui reliait la terre ferme au palais des Otori. L’homme arrêta son cheval du côté de la terre ferme. Des brumes entouraient la ville où se trouvait le palais. L’homme ne distinguait rien de l’autre parti du pont. Cela n’était pas très accueillant. L’homme enleva le capuchon de sa cape. Mikado ne voyait personne au alentour et porter cette cape tout le temps le gênait apr. dessus tout.

Il regarda de nouveau l’autre côté de pont. Ce pont ressemblait à un horrible monstre avec la gueule grande ouverte. Mikado allait se jeter dedans. Mais il ne pouvait choisir. Il fallait le faire. Il ne pouvait s’arrêter en si bon chemin. Cela faisait 3 jours qu’il voyageait. Il avait réussi à survivre à plusieurs attaques de brigands. Il n’allait pas s’arrêtait en si bon chemin. Il regarda une dernière fois derrière lui, avant de talonner son cheval pour qu’il se remette au galop. Les bruits des sabots retentirent sur le pont comme une horrible sonorité qu’on entend qu’on on raye une tole de fer avec le sol. Le cavalier fonça donc vers les nuages qui recouvraient toue l’autre rive du pont. Mikado ne posa pas de questions et traversa cette brume le plus vite possible.

Une fois passait cette brume, mikado découvrit une ville pleine d’activité. Il remit alors son capuchon pour e pas être remarqué. Il marcha au pas avec son cheval jusqu’à la porte qui permettait d’entrer. Une fois rentrer dans la ville le plais était assez facile à trouver. C’était le plus haut édifice. Il se trouvait en plus au centre. Mikado dut quand même zigzaguer entre les personnes et surtout dans les rues. Enfin il fut arrivé à la porte du palais…

Il toqua lentement entendant qu’on lui ouvre….

Il ce baladait a travers le palais Otori et cela dans un état un tantinet pensif. Il ce posait plusieurs question sur les événements qui semblait s’approcher a grand pas. Le regard vide d’esprit, mais remplis de penser, il avançait pas a pas a travers le palais. La plus par des servants et servantes du palais n’était pas encore lever a cet heur, mais le maître d’arme Nakajima n’avait pas d’heur pour être debout, a vrai dire, il n’avait pas dormit du tout. Le palais était très calme a cet heur si matinal, avec une oreille attentive, il aurait été possible d’entendre les faibles pas fait par Nobuhiro. Ses pas étaient doux et gracieux, il était rare qu’il fasse le moindre bruit, mais sans doute le fait qu’il n’est pas dormis depuis des lustres rendait son pied plus lourd pour le sol. C’est alors que les penser du maître d’arme fur interrompu par un bruit. Quelqu’un était alors venu toquer a la parte, mais qui cela pouvait-il bien être. Sans doute une servante aurait été ouvrir a l’étranger, mais puisqu’il était tout près, il ce dit qu’il pouvait le faire lui-même. Sans doute le personnage qui venait toquer à la porte du palais serait légèrement surpris de voir un personnage tel que le maître d’arme Nakajima venir ouvrir. Il le fit d’une façon gracieuse, puis regardait le personnage qui était devant lui tout en disant :

« Bonjours étranger, que puis-je pour vous? »